fmd_394746 - Essai de 10 francs Roland Garros, tranche B 1988 F.372/1
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Article vendu sur notre boutique internet (2018)
Prix : 95.00 €
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Type : Essai de 10 francs Roland Garros, tranche B
Date : 1988
Quantité frappée : inclus
Métal : cupro-nickel
Diamètre : 26 mm
Axe des coins : 6 h.
Poids : 10 g.
Tranche : en creux. (branche de laurier) LIBERTE (branche d’olivier) EGALITE (épi) FRATERNITE
Commentaires sur l'état de conservation :
Exemplaire sous sachet plastique scellé
Référence ouvrage :
Avers
Titulature avers : 1888 - 1918 / ROLAND GARROS.
Description avers : Buste de Roland Garros à coté de son avion, une Demoiselle 20 ; signé H. DUETTHE et rosette de l'Atelier de Gravure sous l'avion.
Revers
Titulature revers : (DIFFÉRENT) 1988 (DIFFÉRENT) / RÉPUBLIQUE FRANÇAISE // 10 F.
Description revers : Littoral atlantique de la France se déployant en cigogne très stylisée.
Commentaire
L’analyse des trois exemplaires de cet essai en notre possession montre plusieurs détails qui indiquent des traitements plus que curieux à la fabrication. Les trois exemplaires ont une qualité de surface très bizarre avec des coups atténués dans les champs, adoucis, et on a franchement l’impression que les flans, avant la frappe, furent violemment choqués à de nombreuses reprises, puis repolis, puis frappés. En effet, non seulement aucune des traces de coups ne se trouve sur les zones en relief mais seulement dans les champs (ils étaient donc là avant la frappe et ont été écrasés par les reliefs de celle-ci ) mais les traces visibles sont mates et atténuées, comme si la surface avait été repolie.
Comment est-ce possible ? Nous l’ignorons. Tout se passe comme si les flancs avaient été stockés en sacs, secoués violemment et à de nombreuses reprises, puis repolis maladroitement.
Par ailleurs, sur certains exemplaires, les coins utilisés étaient rayés par un polissage mal réussi. Ces rayures se distinguent facilement tant des hairlines comme des rayures de la pièces car ils passent sous les détails de gravure sans interruption : ceci est parfaitement logique puisque le polissage du soin se fait sur le plat du coin, dont les détails sont en creux, sans que rien ne viennent arrêter ou interrompre l’abrasion.
L’un des trois exemplaires ne porte pas ces rayures de coin et semble avoir été repoli, probablement dans le but de les supprimer du coin. Cet exemplaire porte les rayures de coin.
Comment est-ce possible ? Nous l’ignorons. Tout se passe comme si les flancs avaient été stockés en sacs, secoués violemment et à de nombreuses reprises, puis repolis maladroitement.
Par ailleurs, sur certains exemplaires, les coins utilisés étaient rayés par un polissage mal réussi. Ces rayures se distinguent facilement tant des hairlines comme des rayures de la pièces car ils passent sous les détails de gravure sans interruption : ceci est parfaitement logique puisque le polissage du soin se fait sur le plat du coin, dont les détails sont en creux, sans que rien ne viennent arrêter ou interrompre l’abrasion.
L’un des trois exemplaires ne porte pas ces rayures de coin et semble avoir été repoli, probablement dans le but de les supprimer du coin. Cet exemplaire porte les rayures de coin.