+ Filtres
Nouvelle Recherche
Filtres
En Stock Mot(s) exact(s) Titre uniquement
BoutiqueChargement...
Etat Chargement...
PrixChargement...
contenu

Live auction - bry_382076 - LOUIS XV DIT LE BIEN AIMÉ Écu aux trois couronnes 1715 Lille

LOUIS XV DIT LE BIEN AIMÉ Écu aux trois couronnes 1715 Lille TB+/TTB+
Vous devez être connecté et approuvé par cgb.fr pour participer à une "e-auction/live-auction" de cgb.fr, Identifiez vous pour miser. Les validations de compte sont effectuées dans les 48 heures qui suivent votre enregistrement, n'attendez pas les deux derniers jours avant la clôture d'une vente pour procéder à votre enregistrement.En cliquant sur "MISER", vous acceptez sans réserve les conditions générales des ventes privées des live auctions de cgb.fr. La vente commencera sa clôture à l'heure indiquée sur la fiche descriptive. Veuillez noter que les délais de transmission de votre offre à nos serveurs peuvent varier et qu'il peut en résulter un rejet de votre offre si elle est expédiée dans les toutes dernières secondes de la vente. Les offres doivent être effectuées avec des nombres entiers, vous ne pouvez saisir de , ou de . dans votre offre. Pour toute question cliquez ici pour consulter la FAQ des live auctions.

Les offres gagnantes seront soumises à 18% TTC de frais de participation à la vente.
Estimation : 35 000 €
Prix : pas d'offre
Offre maximum : pas d'offre
Fin de la vente : 01 mars 2016 16:21:16
Type : Écu aux trois couronnes
Date : 1715 
Nom de l'atelier/ville : Lille
Quantité frappée : 27480
Métal : argent
Titre en millième : 917 ‰
Diamètre : 42 mm
Axe des coins : 6 h.
Poids : 30,37 g.
Tranche : .(fleuron) DOMINE (fleuron) (lis) (fleuron) SALVUM .(fleuron) (lis) (fleuron) FAC (fleuron) (lis) (fleuron) REGEM
Degré de rareté : R3
Commentaires sur l'état de conservation :
Cet écu est frappé sur un flan large et régulier. Exemplaire recouvert d’une patine grise de médaillier. Plat au droit sur le chevelure du roi et petits coups sur la tempe, sous le menton et sous ET. L’œil a été retouché. Revers légèrement concave et bien venu à la frappe
Référence ouvrage :
Pedigree :
Exemplaire provenant de la collection L.G.

Avers


Titulature avers : (MM) LUD. XV. D. G. - FR. ET. NAV. REX ..
Description avers : Buste enfantin de Louis XV à droite, drapé et cuirassé ; au-dessous (Mg).
Traduction avers : (Louis XIV, par la grâce de Dieu, roi de France et de Navarre).

Revers


Titulature revers : (SOLEIL) SIT. NOMEN. DOMINI. BENEDICTVM (MG) 1715.
Description revers : Trois couronnes posées 1 et 2 en triangle, séparées par trois lis.
Traduction revers : (Béni soit le nom du Seigneur).

Commentaire


Exemplaire frappé avec les mêmes carrés de droit et de revers que l’exemplaire n° 306 de la vente Jean Vinchon du 29 octobre 2002. Monnaie ayant fait l’objet d’un article dans le Bulletin Numismatique n° 150 de février 2015. Ce type monétaire, a été frappé avec les poinçons d’effigies du graveur général Norbert Roëttiers. Les premiers poinçons furent déposés au greffe de la Cour des monnaies le 15 novembre 1715, puis expédiés vers plusieurs ateliers du royaume. Ces écus aux trois couronnes à l’effigie de Louis XV et de Lille furent mis en circulation suite à 4 délivrances du 7 décembre au 28 décembre 2015. Au total, 27.480 exemplaires ont été frappées, pour un poids de 3.431 marcs 7 onces ; 27 exemplaires ont été mis en boîte. Ces monnaies furent décriées le mois même de leur mise en circulation, par l’édit donné à Vincennes en décembre 1715 créant le type dit “vertugadin”, d’où leur insigne rareté.

Historique


LOUIS XV DIT LE BIEN AIMÉ

(01/09/1715-10/05/1774)

Né à Versailles en 1710, Louis XV était le fils de Louis, duc de Bourgogne, et de Marie-Adélaïde de Savoie. Il succéda à son arrière-grand-père en 1715, en raison du décès prématuré de son grand père, le Grand Dauphin, et de son père. Pendant la minorité du roi, la régence revint à Philippe, duc d'Orléans, neveu de Louis XIV. Après un essai malheureux de gouvernement par conseils substitué aux secrétaires d'État (la Polysynodie, 1715-1718), le régent revint aux maximes de son oncle et préserva l'autorité monarchique. Les vraies nouveautés de la régence furent dans la tentative ratée de réforme économique et financière (système de Law) et dans une libéralisation des mœurs et une orientation différente de la littérature, en réaction contre le rigorisme du siècle précédent. Majeur, Louis XV fut sacré à Reims en 1722. Se succédèrent alors comme premiers ministres : le duc d'Orléans (1722-1723), le duc de Bourbon (1723-1726) et le cardinal de Fleury, ancien précepteur du roi (1726-1743). Cette période fut marquée par la guerre de Succession de Pologne (1733-1738), qui permit à la France de placer le roi détrôné de Pologne, Stanislas, beau-père de Louis XV, à la tête de la Lorraine et, à terme, de mettre la main sur le duché. Le ministère de Fleury, d'esprit pacifique, fut pour la France une période de récupération après les épreuves du règne précédent. Commencée sous Fleury, la guerre de Succession d'Autriche (1741-1748) eut des résultats moins heureux, la paix d'Aix-la-Chapelle nous faisant renoncer aux conquêtes de Maurice de Saxe dans les Pays-Bas. C'est pendant cette guerre que Louis, ayant commencé à gouverner, connut l'apogée de sa popularité, en particulier durant sa maladie à Metz (1744). La guerre de Sept Ans (1756-1763) sera, elle, tout à fait désastreuse. Au traité de Paris, la France perd le Canada et les Indes. L'annexion de la Corse, en 1769, fut un succès tardif et de moindre importance. L'Angleterre triomphait dans son combat séculaire pour la domination de l'Atlantique. L'alliance autrichienne s'était révélée peu utile et l'émergence de la Prusse faisait paraître une nouvelle menace, dont toute l'ampleur se révéla au siècle suivant. À l'intérieur, les ministères successifs se heurtèrent à l'opposition des parlements, notamment du Parlement de Paris, et à la permanence du mouvement janséniste. La politique de fermeté menée entre 1770 et 1774, ne put racheter les hésitations des décennies précédentes. En ce siècle des Lumières, le décalage entre l'ancienne religion monarchique et la pratique autoritaire du pouvoir, d'une part, l'évolution des esprits et des mœurs, de l'autre, ne cessa de grandir. Le pouvoir royal se figea dans la répétition servile des maximes de gouvernement propres à Louis XIV. Louis XV et Louis XVI n'avaient pas l'aura de leur aïeul : ils flottaient dans cet habit de gloire trop ample pour eux. De l'intérieur, la " vieille machine " donnait des signes de dérèglement, instabilité et despotisme ministériels simultanés, règne des favorites. Un malaise apparut dans les élites ; la noblesse, l'office, le service militaire n'étaient plus les valeurs sûres de jadis. L'opinion publique devenait une force. Tandis que le pouvoir politique tendait à l'immobilisme, la machine administrative, elle, se modernisa, dans un souci de contrôle, de mesure, de bonne gestion. Le règne de Louis XV a été pour la France une ère de prospérité et de développement économique, en même temps que celui d'une extrême floraison des arts, des lettres et des sciences. De Marie Leczynska, épousée en 1725, Louis XV eut un fils, Louis, né en 1729, qui mourut en 1765, laissant lui-même trois fils : les futurs Louis XVI, Louis XVIII et Charles X.

Vos articles vus récemment

LOUIS XV DIT LE BIEN AIMÉ Écu aux trois couronnes 1715 Lille TB+/TTB+
LOUIS XV DIT LE BIEN AIMÉ Écu aux trois couronnes 1715 Lille TB+/TTB+
18000.00 €

cgb.fr numismatique

SNENNP - CGB NumismaticsSNCAO - CGB NumismaticsBDM - CGB Numismatics
NGC - CGB NumismaticsPMG - CGB NumismaticsPMG - CGB Numismatics

cgb.fr utilise des cookies pour vous garantir une meilleure expérience utilisateur et réaliser des statistiques de visites.
Pour faire disparaître le bandeau, vous devez accepter ou refuser leur utilisation en cliquant sur les boutons correspondants.
En savoir plus

x