+ Filtres
Nouvelle Recherche
Filtres
En Stock Mot(s) exact(s) Titre uniquement
BoutiqueChargement...
Etat Chargement...
PrixChargement...
contenu

v19_1125 - CONFIANCE (MONNAIES DE...) 2 sols dit "au faisceau", type FRANÇOIS surfrappé sur un monneron de 2 sols à la Liberté 1792 Arras

CONFIANCE (MONNAIES DE...) 2 sols dit  au faisceau , type FRANÇOIS surfrappé sur un monneron de 2 sols à la Liberté 1792 Arras SUP
MONNAIES 19 (2004)
Prix de départ : 2 200.00 €
Estimation : 7 500.00 €
Prix réalisé : 2 200.00 €
Nombres d'offres : 1
Offre maximum : 3 000.00 €
Type : 2 sols dit "au faisceau", type FRANÇOIS surfrappé sur un monneron de 2 sols à la Liberté
Date : 1792 
Nom de l'atelier/ville : Arras
Métal : cuivre
Diamètre : 35,5 mm
Axe des coins : 6 h.
Poids : 17,95 g.
Tranche : .BON POUR BORD MARSEIL. LYON ROUEN NANT ET STRASB.
Degré de rareté : UNIQUE
Commentaires sur l'état de conservation :
Exemplaire presque superbe frappé sur un flan extrêmement large laissant apparaître tous les grènetis extérieurs. La couronne de chêne du revers apparaît légèrement en négatif au droit. Le revers a été frappé avec un coin présentant une cassure sur le bonnet de la liberté
Pedigree :
Exemplaire de la collection Victor Guilloteau, 2e partie vendu chez Ratto, le 16 mars 1934, n° 403 et illustré sous le n° 171 de Victor Guilloteau, Monnaies françaises, colonies 1670-1942, métropole 1774-1942

Avers


Titulature avers : LOUIS XVI ROI - DES FRANÇOIS. / (MM) 1792. W.
Description avers : Grand buste de Louis XVI drapé à gauche, tête nue, les cheveux noués dans le cou par un ruban.

Revers


Titulature revers : .LA NATION LA - LOI LE ROI (MG). / .L'AN 4 DE LA LIBERTÉ..
Description revers : Faisceau sommé d'un bonnet phrygien entre deux branches de chêne.

Commentaire


Rarissime pièce de 2 sols frappée sur un flan de monneron.

Historique


CONFIANCE (MONNAIES DE...)

(1791-1793)

Les Frères Monneron firent fabriquer en Angleterre par Matthew Boulton, grâce à la machine à vapeur de Watt, des pièces de 2 et 5 sols en grande quantité dans l'atelier de Soho à Birmingham, à partir de la fin de l'année 1791. Ces monnaies de nécessité auraient dû suppléer à la pénurie monétaire qui régnait en France et leur qualité technique et esthétique était bien supérieure aux médiocres productions officielles contemporaines en métaux vils.
En mars 1792, les Monneron firent faillite et Pierre s'enfuit. Son frère Augustin reprit l'affaire, mais une loi du 3 mai 1792 interdit la fabrication des monnaies privées. En septembre, un décret interdit la commercialisation des pièces de confiance. Ces monnaies de nécessité circulèrent en fait jusqu'à la fin de 1793.

cgb.fr utilise des cookies pour vous garantir une meilleure expérience utilisateur et réaliser des statistiques de visites.
Pour faire disparaître le bandeau, vous devez accepter ou refuser leur utilisation en cliquant sur les boutons correspondants.
En savoir plus

x