v41_1260 - CONSTANTINOPLE Centenionalis ou nummus, imitation
MONNAIES 41 (2009)
Prix de départ : 145.00 €
Estimation : 250.00 €
lot invendu
Prix de départ : 145.00 €
Estimation : 250.00 €
lot invendu
Type : Centenionalis ou nummus, imitation
Date : 336
Nom de l'atelier/ville : Trèves
Métal : cuivre
Diamètre : 15 mm
Axe des coins : 5 h.
Poids : 1,50 g.
Degré de rareté : R2
Officine : 2e
Emission : 41e
Commentaires sur l'état de conservation :
Exemplaire de qualité exceptionnelle pour ce type sur un tout petit flan, centré des deux côtés. Portrait magnifique pour une aussi petite surface. Revers de haut relief, bien venu à la frappe. Très belle patine marron foncé lissée. Conserve une partie de son brillant de frappe et de son coupant d’origine
Référence ouvrage :
Avers
Titulature avers : CONSTAN-TINOPOLIS.
Description avers : Buste casqué, lauré et cuirassé de Constantinople à gauche, vu de trois quarts en avant, avec le sceptre sur l'épaule gauche (E*7).
Traduction avers : “Constantinopolis”, (de Constantinople).
Revers
Titulature revers : ANÉPIGRAPHE// TRP.
Description revers : Victoria (la Victoire) debout de face tournée à gauche sur une proue de navire, les ailes déployées, tenant un sceptre transversal de la main droite et appuyée sur un bouclier de la main gauche.
Commentaire
Ce type semble bien appartenir au groupe frappé après la réduction du nummus au 1/192 L. en 336. Casque et couvre nuque lisses. Cuirasse lisse. Ce type semble beaucoup plus rare que ne le laissent supposer les ouvrages généraux
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Historique
CONSTANTINOPLE
(330-348)
Après la prise de Rome le 28 octobre 312, Constantin ne reste pas dans la capitale. Il se transporte en Arles qui manque de devenir la nouvelle capitale de l’Empire. Après 324 et la victoire sur Licinius, Constantin décide de construire une nouvelle capitale aux confins de l’Europe et de l’Asie, sur les bords du Bosphore, ressuscitant l’antique Byzance. Rome n’est déjà plus dans Rome et Constantinople n’est pas encore née. Constantin dédicace sa nouvelle capitale chrétienne en mai 330. Elle sera la nouvelle Rome. La vieille aristocratie sénatoriale ne lui pardonne jamais. La fin de Rome, sinon de l’Empire romain, vient de commencer.
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