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E-auction 596-561335 - fme_929596 - CONSTITUTION - ASSEMBLÉE NATIONALE Médaille, Allégorie du pacte fédératif, tirage uniface de l’avers

CONSTITUTION - ASSEMBLÉE NATIONALE Médaille, Allégorie du pacte fédératif, tirage uniface de l’avers TB+
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PAS DE FRAIS ACHETEUR.
Estimation : 100 €
Prix : 43 €
Offre maximum : 51 €
Fin de la vente : 16 septembre 2024 21:11:00
participants : 5 participants
Type : Médaille, Allégorie du pacte fédératif, tirage uniface de l’avers
Date : (1790)
Métal : plomb-étain
Diamètre : 35 mm
Axe des coins : 12 h.
Graveur : BRENET Nicolas-Guy-Antoine (1773-1846)
Poids : 20,08 g.
Tranche : lisse
Poinçon : sans poinçon
Commentaires sur l'état de conservation :
Patine hétérogène avec quelques taches d’oxydation. Présence de traces d’usure, coups et rayures, notamment sur la tranche
Référence ouvrage :

Avers


Titulature avers : ANÉPIGRAPHE.
Description avers : Un faisceau planté en terre, entouré de deux serpens, et surmonté d’un étendard, sur lequel sont placés une couronne et le bonnet de la Liberté. A gauche, le coq et la Bastille; à droite, un autel fumant. Dans le haut, à gauche, le soleil rayonnant. Signé : BRENET.

Revers


Titulature revers : ANÉPIGRAPHE.
Description revers : lisse.

Commentaire


L’auteur de cette médaille, avant de la faire frapper, publia une estampe qui en était l’annonce. On peut y lire l’explication des allégories du sujet de la médaille. Le faisceau indique toutes les armes de la France réunies; les serpens, la prudence; l’étendard de la Liberté, le motif de la réunion; la couronne de chêne, les prix que les romains donnaient aux vainqueurs; le coq, la devise du Roi, de ce bon père attentif aux besoins des Français, qui échauffe et vivifie leurs coeurs et leurs âmes.
La fédération générale du 14 juillet 1790 fut célébrée par un grand nombre de monuments des arts. On grava surtout beaucoup de médailles pour cette circonstance; et plusieurs de ces pièces furent portées à la boutonnière par les fédérés et par les citoyens réunis alors à Paris. Il fut défendu ensuite de porter à la boutonnière ces médailles de la fédération de 1790, parce que cet usage rappelait des idées de distinctions contraires au principe de l’égalité; mais ces espèces de décoration reparaissaient souvent malgré les ordres qui les prohibaient. Un décret de la Convention Nationale du 20 août 1973 défendait de nouveau de porter les médailles du 14 juillet 1790 comme décorations, sous peine d’être regardé comme traître de la République, et ordonna que les coins de ces médailles seraient brisés.

Historique


CONSTITUTION - ASSEMBLÉE NATIONALE

(20/06/1789-21/09/1792

Le 17 juin 1789, les "États Généraux" s'érigent en "Assemblée nationale". Le 20 juin, les députés du Tiers État, ainsi que 149 représentants du Clergé et 2 de la noblesse, se réunissent dans la Salle du Jeu de Paume, à Versailles et jurent de ne se séparer qu'une fois la Constitution écrite. C'est le fameux "Serment du jeu de Paume". Le 9 juillet, cette assemblée devint "Assemblée nationale constituante". Cette assemblée qui comptent alors 1200 députés siége d'abord à Versailles puis aux Tuileries. Du 3 au 13 septembre elle vote la Constitution, que le Roi accepte. Sa mission accomplie, elle se sépare le 30 septembre 1791. Elle est immédiatement remplacée par l'Assemblée législative. .

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