E-auction 596-561335 - fme_929596 - CONSTITUTION - ASSEMBLÉE NATIONALE Médaille, Allégorie du pacte fédératif, tirage uniface de l’avers
Vous devez être connecté et approuvé par cgb.fr pour participer à une "e-auction/live-auction" de cgb.fr, Identifiez vous pour miser. Les validations de compte sont effectuées dans les 48 heures qui suivent votre enregistrement, n'attendez pas les deux derniers jours avant la clôture d'une vente pour procéder à votre enregistrement.En cliquant sur "MISER", vous acceptez sans réserve les conditions générales des ventes privées des e-auctions de cgb.fr et les conditions générales des ventes privées des live auctions de cgb.fr.
La vente sera clôturée à l'heure indiquée sur la fiche descriptive, toute offre reçue après l'heure de clôture ne sera pas validée. Veuillez noter que les délais de transmission de votre offre à nos serveurs peuvent varier et qu'il peut en résulter un rejet de votre offre si elle est expédiée dans les toutes dernières secondes de la vente.
Les offres doivent être effectuées avec des nombres entiers, vous ne pouvez saisir de , ou de . dans votre offre. Pour toute question cliquez ici pour consulter la FAQ des e-auctions.
PAS DE FRAIS ACHETEUR.
PAS DE FRAIS ACHETEUR.
Estimation : | 100 € |
Prix : | 43 € |
Offre maximum : | 51 € |
Fin de la vente : | 16 septembre 2024 21:11:00 |
participants : | 5 participants |
Type : Médaille, Allégorie du pacte fédératif, tirage uniface de l’avers
Date : (1790)
Métal : plomb-étain
Diamètre : 35 mm
Axe des coins : 12 h.
Graveur : BRENET Nicolas-Guy-Antoine (1773-1846)
Poids : 20,08 g.
Tranche : lisse
Poinçon : sans poinçon
Commentaires sur l'état de conservation :
Patine hétérogène avec quelques taches d’oxydation. Présence de traces d’usure, coups et rayures, notamment sur la tranche
Référence ouvrage :
Avers
Titulature avers : ANÉPIGRAPHE.
Description avers : Un faisceau planté en terre, entouré de deux serpens, et surmonté d’un étendard, sur lequel sont placés une couronne et le bonnet de la Liberté. A gauche, le coq et la Bastille; à droite, un autel fumant. Dans le haut, à gauche, le soleil rayonnant. Signé : BRENET.
Revers
Titulature revers : ANÉPIGRAPHE.
Description revers : lisse.
Commentaire
L’auteur de cette médaille, avant de la faire frapper, publia une estampe qui en était l’annonce. On peut y lire l’explication des allégories du sujet de la médaille. Le faisceau indique toutes les armes de la France réunies; les serpens, la prudence; l’étendard de la Liberté, le motif de la réunion; la couronne de chêne, les prix que les romains donnaient aux vainqueurs; le coq, la devise du Roi, de ce bon père attentif aux besoins des Français, qui échauffe et vivifie leurs coeurs et leurs âmes.
La fédération générale du 14 juillet 1790 fut célébrée par un grand nombre de monuments des arts. On grava surtout beaucoup de médailles pour cette circonstance; et plusieurs de ces pièces furent portées à la boutonnière par les fédérés et par les citoyens réunis alors à Paris. Il fut défendu ensuite de porter à la boutonnière ces médailles de la fédération de 1790, parce que cet usage rappelait des idées de distinctions contraires au principe de l’égalité; mais ces espèces de décoration reparaissaient souvent malgré les ordres qui les prohibaient. Un décret de la Convention Nationale du 20 août 1973 défendait de nouveau de porter les médailles du 14 juillet 1790 comme décorations, sous peine d’être regardé comme traître de la République, et ordonna que les coins de ces médailles seraient brisés.
La fédération générale du 14 juillet 1790 fut célébrée par un grand nombre de monuments des arts. On grava surtout beaucoup de médailles pour cette circonstance; et plusieurs de ces pièces furent portées à la boutonnière par les fédérés et par les citoyens réunis alors à Paris. Il fut défendu ensuite de porter à la boutonnière ces médailles de la fédération de 1790, parce que cet usage rappelait des idées de distinctions contraires au principe de l’égalité; mais ces espèces de décoration reparaissaient souvent malgré les ordres qui les prohibaient. Un décret de la Convention Nationale du 20 août 1973 défendait de nouveau de porter les médailles du 14 juillet 1790 comme décorations, sous peine d’être regardé comme traître de la République, et ordonna que les coins de ces médailles seraient brisés.