Live auction - feu_571968 - FRANCE 10 Cent Nouvelle Semeuse, premier type (stries fines), difformée 1999 Pessac
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Les offres gagnantes seront soumises à 18% TTC de frais de participation à la vente.
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Estimation : | 350 € |
Prix : | 180 € |
Offre maximum : | 180 € |
Fin de la vente : | 28 avril 2020 19:59:52 |
participants : | 1 participant |
Type : 10 Cent Nouvelle Semeuse, premier type (stries fines), difformée
Date : 1999
Nom de l'atelier/ville : Pessac
Quantité frappée : ---
Métal : cupro-aluminium 'nordique'
Diamètre : 20 mm
Axe des coins : 12 h.
Poids : 4,10 g.
Tranche : stries fines
Référence ouvrage :
Avers
Description avers : La France sous les traits d’une Semeuse marchant à gauche et semant à contre-vent ; derrière le soleil levant ; traits horizontaux à gauche et verticaux à droite avec signature L. JORIO d’ap. O. ROTY ; à gauche de la France, le millésime.
Revers
Titulature revers : 10/ EURO/ CENT.
Description revers : Carte de l’Union européenne sur six traits tirés entre deux groupes de six étoiles formant les douze pays de la zone euro, signature en monogramme LL.
Commentaire
Lorsqu’un incident se produit lors de la frappe des pièces, celles-ci sont difformées (ce qui explique les marques sur les pièces) avant d’être détruites et envoyées à la fonte.
Cette 10 cent est une des rares pièces ayant survécu à la destruction de ce premier type à fines cannelures. En effet la production de masse des euros français avait déjà commencé en 1998 lorsque la commission de Bruxelles opta pour une tranche à larges cannelures suite à des réclamations d’associations de mal-voyants et d’entreprises d’appareils automatiques. Ce premier type fut donc difformé avant d’être envoyé à la fonte, ce qui explique son aspect écrasé. Quelques exemplaires seulement en ont réchappé.
Un article publié dans le Bulletin Numismatique n°34 signale qu’un même type à fines cannelures pourrait éventuellement avoir été frappé pour la pièce de 50 cent.
Cette 10 cent est une des rares pièces ayant survécu à la destruction de ce premier type à fines cannelures. En effet la production de masse des euros français avait déjà commencé en 1998 lorsque la commission de Bruxelles opta pour une tranche à larges cannelures suite à des réclamations d’associations de mal-voyants et d’entreprises d’appareils automatiques. Ce premier type fut donc difformé avant d’être envoyé à la fonte, ce qui explique son aspect écrasé. Quelques exemplaires seulement en ont réchappé.
Un article publié dans le Bulletin Numismatique n°34 signale qu’un même type à fines cannelures pourrait éventuellement avoir été frappé pour la pièce de 50 cent.