fco_320802 - MAROC - PROTECTORAT FRANÇAIS Essai 5 Dirhams Moulay Youssef I an 1331, Nickel 1913 Paris
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Article vendu sur notre boutique internet (2015)
Prix : 1 250.00 €
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Type : Essai 5 Dirhams Moulay Youssef I an 1331, Nickel
Date : 1913
Nom de l'atelier/ville : Paris
Quantité frappée : ---
Métal : nickel
Diamètre : 32,07 mm
Axe des coins : 12 h.
Poids : 12,12 g.
Tranche : lisse
Degré de rareté : R3
Commentaires sur l'état de conservation :
exemplaire parfait mais aspect terne
Référence ouvrage :
Pedigree :
Cet exemplaire provient de la Collection Michel
Avers
Titulature avers : EN ARABE, AU CENTRE : DEMI-RIAL DE MOULAY YOUSSEF, LE NOBLE ; DANS LES CANTONS DE L’ÉTOILE : QU’IL SOIT ACCOMPAGNÉ PAR LA JOIE, LA CHANCE, L’AMOUR DE SON PEUPLE, LA GLOIRE, ET CE, POUR TOUJOURS.
Description avers : Sceau de Salomon cerclé en son centre.
Revers
Titulature revers : POUR VALOIR CE QUE DE DROIT POUR CINQ DIRHAMS COURANTS / FRAPPÉ EN L’ANNÉE 1331 À PARIS / ESSAI.
Description revers : Double cercle et arabesques.
Commentaire
Cet essai est en frappe médaille.
Nous avons souvent inversé les illustrations du livre de Jean Lecompte avers/revers car le Maroc étant un protectorat, la puissance émettrice, théoriquement placée à l’avers, est le roi du Maroc et non la République française.
Pour cette pièce, qui ne mentionne pas de statut politique particulier ni n’utilise le système inspiré de celui des Français (qui n’apparaît qu’en 1339 A.H., on devrait certainement placer à l’avers le nom et les titres du roi. On notera que dans ce cas l’avers porte également la valeur faciale, le revers une autre expression de la valeur faciale, le lieu et l’année de frappe.
Malheureusement, entre les intentions des responsables marocains, l’exécution par la Monnaie de Paris (nous avons vu que l’auteur des coins ne connaissait pas la langue arabe) et les traditions locales éventuellement différentes, il est très difficile de trancher.
Nous avons souvent inversé les illustrations du livre de Jean Lecompte avers/revers car le Maroc étant un protectorat, la puissance émettrice, théoriquement placée à l’avers, est le roi du Maroc et non la République française.
Pour cette pièce, qui ne mentionne pas de statut politique particulier ni n’utilise le système inspiré de celui des Français (qui n’apparaît qu’en 1339 A.H., on devrait certainement placer à l’avers le nom et les titres du roi. On notera que dans ce cas l’avers porte également la valeur faciale, le revers une autre expression de la valeur faciale, le lieu et l’année de frappe.
Malheureusement, entre les intentions des responsables marocains, l’exécution par la Monnaie de Paris (nous avons vu que l’auteur des coins ne connaissait pas la langue arabe) et les traditions locales éventuellement différentes, il est très difficile de trancher.