lm181 - Médailles françaises des XVe, XVIe et XVIIe siècles du musée des Beaux-Arts de Lyon ROUHETTE Thierry et TUZIO Francesco
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Auteur : ROUHETTE Thierry et TUZIO Francesco
Editeur : Éditions Victor Gadoury
Caractéristiques : Monaco 2008, 24,5 x 33, relié toile sous jaquette, 253 pages, illustrations en couleur
Poids : 1900 g.
Commentaire
Depuis sa création en Italie au début de la Renaissance, de nombreuses médailles ont été fondues ou coulées en France en l’honneur des rois et des dignitaires du royaume. Il s’agissait de les honorer en rappelant leurs hauts faits. Les plus grands artistes ont souvent été des médailleurs de talent et leur production compte parmi les œuvres d’art les plus réussies de leur temps.
Ce catalogue permet d'illustrer la richesse, la diversité et l’intérêt du fonds lyonnais. 168 exemplaires ont été retenus par les Auteurs. Tous ne sont pas de qualité exceptionnelle mais bon nombre d’entre eux s’avèrent, après quatre années de recherche, rares ou originaux.
Certaines médailles, conservées en réserve depuis de nombreuses années, se sont finalement avérées être des pièces d’exception correspondant aux tous premiers tirages. D'autres médailles, jusqu'ici considérées comme des pièces majeures de la collection, ne sont en fait que des fontes postérieures voire des inventions modernes.
L’étude attentive des techniques utilisées pour la fabrication de ses médailles anciennes s’est donc révélée déterminante pour l’authentification ou le rejet des médailles conservées à Lyon. .
Ce catalogue permet d'illustrer la richesse, la diversité et l’intérêt du fonds lyonnais. 168 exemplaires ont été retenus par les Auteurs. Tous ne sont pas de qualité exceptionnelle mais bon nombre d’entre eux s’avèrent, après quatre années de recherche, rares ou originaux.
Certaines médailles, conservées en réserve depuis de nombreuses années, se sont finalement avérées être des pièces d’exception correspondant aux tous premiers tirages. D'autres médailles, jusqu'ici considérées comme des pièces majeures de la collection, ne sont en fait que des fontes postérieures voire des inventions modernes.
L’étude attentive des techniques utilisées pour la fabrication de ses médailles anciennes s’est donc révélée déterminante pour l’authentification ou le rejet des médailles conservées à Lyon. .