fme_895337 - SECOND EMPIRE Médaille, Exposition universelle
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Type : Médaille, Exposition universelle
Date : 1867
Nom de l'atelier/ville : 75 - Paris
Métal : cuivre
Diamètre : 51 mm
Axe des coins : 12 h.
Graveur : PONSCARME François Joseph Hubert (1827-1903)
Poids : 61,01 g.
Tranche : lisse + abeille CUIVRE
Poinçon : Abeille CUIVRE
Commentaires sur l'état de conservation :
Patine marron. Petite usure et traces de manipulation dans les champs de l’avers. Petite concrétion dans la légende du revers
Référence ouvrage :
Avers
Titulature avers : NAPOLÉON III - EMPEREUR.
Description avers : Tête laurée de Napoléon III à gauche; signé : H. PONSCARME F..
Revers
Titulature revers : EXPOSITION. UNIVERSELLE. DE. MDCCCLXVII. À. PARIS.
Description revers : La Renommée volant au-dessus du globe terrestre, brandissant le plan d'ensemble du Palais, du parc et du jardin de l'Exposition Universelle, signé : H. PONSCARME F.
Commentaire
Les expositions universelles ont été créées pour présenter les réalisations industrielles des différentes nations. Elles représentaient la vitrine technologique et industrielle des participants, témoignant du progrès au cours de la révolution industrielle. La première exposition universelle s'est déroulée à Londres en 1851.
À l'origine, chaque pays disposait d'un espace réservé dans un pavillon central. À partir de 1867, des pavillons nationaux firent leur apparition. En principe, ils étaient attribués seulement s'il y avait des choses à présenter que le pavillon central ne pouvait accueillir. Ils ne tardèrent pas à se généraliser, les nations exposantes construisant des pavillons typiques de l'architecture de leurs pays.
La compétition était omniprésente dans les expositions universelles, et des concours permettaient aux plus méritants d'obtenir des médailles bénéficiant d'un certain prestige.
De nombreuses réalisations architecturales construites à l'occasion d'expositions universelles sont devenues par la suite des symboles des villes qui les ont abritées : la tour Eiffel à Paris, l'Atomium à Bruxelles, le Space Needle à Seattle, la Biosphère à Montréal.
Enfin, la tenue des expositions universelles a toujours été l'occasion de mettre en place des projets d'urbanisme : construction du métro de Paris en 1900 ou celui de Montréal en 1967, extension du métro de Lisbonne en 1998…
Voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Exposition_universelle .
À l'origine, chaque pays disposait d'un espace réservé dans un pavillon central. À partir de 1867, des pavillons nationaux firent leur apparition. En principe, ils étaient attribués seulement s'il y avait des choses à présenter que le pavillon central ne pouvait accueillir. Ils ne tardèrent pas à se généraliser, les nations exposantes construisant des pavillons typiques de l'architecture de leurs pays.
La compétition était omniprésente dans les expositions universelles, et des concours permettaient aux plus méritants d'obtenir des médailles bénéficiant d'un certain prestige.
De nombreuses réalisations architecturales construites à l'occasion d'expositions universelles sont devenues par la suite des symboles des villes qui les ont abritées : la tour Eiffel à Paris, l'Atomium à Bruxelles, le Space Needle à Seattle, la Biosphère à Montréal.
Enfin, la tenue des expositions universelles a toujours été l'occasion de mettre en place des projets d'urbanisme : construction du métro de Paris en 1900 ou celui de Montréal en 1967, extension du métro de Lisbonne en 1998…
Voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Exposition_universelle .