fjt_741751 - SÉRIE MÉTALLIQUE DES ROIS DE FRANCE Règne de PHILIPPE IV LE BEL - 45 n.d.
45.00 €
Quantité
Ajouter au panier
Type : Règne de PHILIPPE IV LE BEL - 45
Date : n.d.
Métal : cuivre
Diamètre : 32 mm
Axe des coins : 12 h.
Poids : 12,27 g.
Tranche : lisse
Degré de rareté : R1
Pedigree :
Exemplaire provenant de la Collection MARINECHE
Avers
Titulature avers : PHILIPPE IV ROY DE FRAN. ET DE NAVAR..
Description avers : Buste imaginaire couronné et drapé à droite.
Revers
Titulature revers : 45 - NÉ 1268 - SUCCEDE 1285 - LIBERTEZ DU ROIAUME MAINTENUES - CONCILE GENERAL A VIENE - MORT 1314 - TROISIEME RACE / P..
Description revers : en huit lignes.
Commentaire
Philippe IV de France, dit Philippe le Bel (Fontainebleau, avril/juin 1268 - Fontainebleau, 29 novembre 1314) fils Philippe III de France (1245-1285) et de sa première épouse Isabelle d'Aragon. Il fut roi de France de 1285 à 1314, onzième roi de la dynastie des Capétiens directs.
Son père confie une partie de l'éducation du jeune Philippe à Guillaume d'Ercuis, son aumônier. À la différence de son père, Philippe le Bel reçoit par le soin de son précepteur une bonne éducation Il comprend le latin et aime étudier.
Surnommé par ses ennemis tout comme par ses admirateurs le « roi de marbre » ou « roi de fer », il se démarque par sa personnalité rigide et sévère. L'un de ses plus farouches opposants, l'évêque de Pamiers Bernard Saisset, dit d'ailleurs de lui : « Ce n'est ni un homme ni une bête. C'est une statue. » Philippe le Bel fut un roi qui souleva au cours de son règne beaucoup de polémiques, le pape Boniface VIII le traitant par exemple de « faux-monnayeur ».
Sous le règne de Philippe IV, les traditions féodales sont abandonnées pour mettre en place une administration moderne. Mais la centralisation monarchique mécontente les grands seigneurs et les nouveaux impôts dressent les bourgeois contre le pouvoir royal.
Grâce à l'aide de juristes, notamment son fidèle collaborateur Guillaume de Nogaret , Philippe IV transforme véritablement un État encore féodal en une monarchie moderne où la volonté du roi s'impose à tous, et un impôt national est prélevé sur tout le royaume de France.
Son règne est particulièrement agité sur le plan monétaire. Le roi et ses conseillers multiplient les émissions de nouvelles monnaies. Aux dévaluations succèdent les réévaluations, qui donnent un sentiment d'incohérence de la politique royale. Ces mutations monétaires aboutissent finalement à un mécontentement général dans le royaume. Entre 1306 et sa mort, le roi fait face à des émeutes populaires mais aussi à des ligues nobiliaires qui exigent, entre autres, le retour à la bonne monnaie.
Pour la suite de la biographie, voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_IV_de_France.
Son père confie une partie de l'éducation du jeune Philippe à Guillaume d'Ercuis, son aumônier. À la différence de son père, Philippe le Bel reçoit par le soin de son précepteur une bonne éducation Il comprend le latin et aime étudier.
Surnommé par ses ennemis tout comme par ses admirateurs le « roi de marbre » ou « roi de fer », il se démarque par sa personnalité rigide et sévère. L'un de ses plus farouches opposants, l'évêque de Pamiers Bernard Saisset, dit d'ailleurs de lui : « Ce n'est ni un homme ni une bête. C'est une statue. » Philippe le Bel fut un roi qui souleva au cours de son règne beaucoup de polémiques, le pape Boniface VIII le traitant par exemple de « faux-monnayeur ».
Sous le règne de Philippe IV, les traditions féodales sont abandonnées pour mettre en place une administration moderne. Mais la centralisation monarchique mécontente les grands seigneurs et les nouveaux impôts dressent les bourgeois contre le pouvoir royal.
Grâce à l'aide de juristes, notamment son fidèle collaborateur Guillaume de Nogaret , Philippe IV transforme véritablement un État encore féodal en une monarchie moderne où la volonté du roi s'impose à tous, et un impôt national est prélevé sur tout le royaume de France.
Son règne est particulièrement agité sur le plan monétaire. Le roi et ses conseillers multiplient les émissions de nouvelles monnaies. Aux dévaluations succèdent les réévaluations, qui donnent un sentiment d'incohérence de la politique royale. Ces mutations monétaires aboutissent finalement à un mécontentement général dans le royaume. Entre 1306 et sa mort, le roi fait face à des émeutes populaires mais aussi à des ligues nobiliaires qui exigent, entre autres, le retour à la bonne monnaie.
Pour la suite de la biographie, voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_IV_de_France.