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fme_911522 - TROISIÈME RÉPUBLIQUE Médaille, Prix de la chambre de commerce

TROISIÈME RÉPUBLIQUE Médaille, Prix de la chambre de commerce TTB
45.00 €
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Type : Médaille, Prix de la chambre de commerce
Date : n.d.
Nom de l'atelier/ville : 62 - Boulogne-sur-Mer
Métal : bronze
Diamètre : 50 mm
Axe des coins : 12 h.
Graveur : DESAIDE Alphonse (1851-1904)
Poids : 58 g.
Tranche : lisse + triangle BRONZE
Poinçon : Triangle BRONZE
Commentaires sur l'état de conservation :
Patine hétérogène avec des taches d’oxydation et des concrétions vertes. Présence de coups et rayures

Avers


Titulature avers : CHAMBRE DE COMMERCE DE BOULOGNE-SUR-MER.
Description avers : Oeil dans un triangle rayonnant au dessus d’une ancre entrecroisée sous un caducée. Signé : A. DESAIDE.

Revers


Titulature revers : (FLEUR) PRIX DE LA CHAMBRE DE COMMERCE.
Description revers : Couronne de chêne et de lauriers ; légende autour.

Commentaire


Médaille non décernée.

Alphonse Desaide est le fils de Louis Desaide (Paris, 1820-1876), éditeur de médailles, gérant de l'atelier « Roquelay et Desaide, graveurs sur métaux », actif à Paris dans les années 1850-1880, qui avait hérité de la boutique située au 56 quai des Orfèvres de son beau-père, Pierre Roquelay (1808-?). Il existait aussi une autre boutique rue de l'Arbre-Sec, et qui fournissait Napoléon III et la Monnaie de Paris. Surnommé « A. Desaide, fils », il exerce son métier de graveur à Paris. Il a travaillé aux côtés d'Oscar Roty et Alfred Borrel. En 1890, il est mentionné comme « graveur héraldique » toujours quai des Orfèvres, et éditeur d'une plaquette de Louis de La Roque, Devises héraldiques, traduites et expliquées. Actif jusque vers 1903, il fournit les villes, les concours, les expositions en médailles et jetons, puis il revend son atelier à M. Magdelaine. Il signe « A. Desaide »..

Historique


TROISIÈME RÉPUBLIQUE

(4/09/1870-10/07/1940)

La nouvelle de la capitulation de Sedan provoque la révolution du 4 septembre 1870 à Paris. Proclamée à l'Hôtel de Ville, la République est dotée d'un gouvernement provisoire appelé gouvernement de la Défense nationale. Menacé à gauche par l'insurrection de la Commune et à droite par les monarchistes, le nouveau régime connaît des débuts difficiles. Chef du pouvoir exécutif dans un premier temps (février 1871), Thiers est chargé de réorganiser le pays avant de choisir sa forme de gouvernement. Il devient président de la République en août 1871 et, malgré son action de libération du territoire, doit quitter son poste en mars 1873 face à l'opposition royaliste. Il est alors remplacé par Mac-Mahon favorable au rétablissement de la monarchie mais celle-ci n'est pas restaurée à la suite de la question du drapeau. La loi du septennat est alors mise en place en novembre 1873 puis, en 1875, sont votées les lois fondamentales qui servent de Constitution à la Troisième République. Régime parlementaire, elle se caractérise notamment par la nette prépondérance du pouvoir législatif sur le pouvoir exécutif. Anticléricale, la Troisième République rend l'école gratuite, laïque et obligatoire mais continue la politique coloniale pour ses ambitions économiques, stratégiques et morales. La séparation des Églises et de l'État est votée en 1905. L'idée d'une revanche sur l'Allemagne et un nationalisme important sont au cœur de la crise boulangiste, du scandale de Panama ou de l'affaire Dreyfus des années 1886-1899 tandis que la politique étrangère est très active notamment au Maroc et que la course aux armements se développe. La Première Guerre mondiale coûte cher à la France qui ne se relève qu'à partir de 1920 voire 1928 pour la monnaie avec le franc "Poincaré". La crise de 1929 ne se fait sentir qu'à partir de 1932 mais dure jusqu'en 1939, période durant laquelle l'instabilité ministérielle est très importante. Vacillant en 1934, la Troisième République trouve un nouveau ciment unitaire avec l'antifascisme qui permet l'arrivée au pouvoir du Front populaire en 1936. Mais, paralysée face à l'Allemagne, la France va alors s'enliser dans une "drôle de guerre" puis connaître l'une des plus grandes défaites de son histoire en juin 1940. Réunies en Assemblée nationale à Vichy le 10 juillet 1940, les Chambres, pourtant élues en 1936, votent les pleins pouvoirs à Pétain dans une sorte de suicide collectif par 569 voix pour, 80 voix contre et 18 abstentions.

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